Découvrez THAIPOWERGYM, L’Héritage de Lucien Deroy
Depuis sa fondation en 1988 par Lucien Deroy, THAIPOWERGYM s’est imposé comme un pilier de la communauté des arts martiaux à Houplines, cultivant un espace où la passion pour les sports de combat se conjugue avec la croissance personnelle.
Un Début Modeste, Un Futur Rayonnant
Lucien Deroy a lancé THAIPOWERGYM avec une vision claire : créer plus qu’un simple gym, un lieu où chaque individu peut s’épanouir à travers la pratique des arts martiaux. De ses débuts modestes, le club a évolué pour offrir une gamme étendue de disciplines, du Muay Thai au MMA, en passant par le JJB et la self-défense, répondant ainsi aux aspirations de tous ses membres, des novices aux compétiteurs chevronnés.
1988
Création du club
Lucien Lance le Club avec le partenariat de la Ville.
1991
Premier titre pour Lucien
Européen de kick
Vice champion Europe full contact ISKA.
1992
Vice champion d’Europe, de boxe Thai
à Mouscron en Belgique.
1993
Lucien Vice champion du monde et champion d'europe
Kick Boxing ISKA.
1996
La Lutte
Premier combat en combat libre (lutte contact)
2000
Champion du monde IFMA
Un titre de champion du monde IFMA de muaythai pour Gregory Poupaert.
2001
Selection en équipe de france
IFMA pour Gregory Poupaert et Arnaud Da Silva.
2006
Champions de France Pro de muaythai.
Jacob Vanmeenen et Alexandre Courdain
2013
Gala des 25 ans du club
2018
Gala des 30 ans du club
2018
Agrandissement de la salle et rénovations.
2022
Montage d’une cage de MMA...
Rencontrez Notre Équipe, Le Cœur de THAIPOWERGYM
Notre équipe est bien plus qu’un simple groupe d’entraîneurs et de bénévoles. C’est une famille dédiée à partager sa passion pour les arts martiaux et à inspirer chaque membre à atteindre son plein potentiel. Chacun apporte une expertise unique et une approche personnalisée à l’entraînement et à la vie du club en enrichissant l’expérience de nos membres à travers une variété de disciplines et un investissement sans failles.

Youssef Akdader
Cardio boxing, boxe & pieds-poings.
Combattant PRO.

Ghanou Amar
Assistant kids et adultes pieds-poings.

Francois Dilly.
MMA.
Diplômé BMF 3.

Ludovic Aerts.
Pieds-poings.
Diplômé BMF 3

Jeremy Douis
Ceinture noire de JJB de l’école Jackson Paulo, team Manimal
Détenteur du Brevet Fédéral de grappling avec la FF de lutte.

Benoît Pollet
BMF 2
Moniteur Kids.

Anthony Spilers
Ancien combattant SEMI-PRO.
Pieds-poings.
Diplômé BMF2.
Manager combattant.

Cedric Degand
Assistant coach pieds-poings et Préparation physique

Michael Pina Vegara
Assistant Kids.

Philippe Derycke
Assistant coach adulte.
Prajeet marron de muaythai.


Lucien Deroy – Fondateur et Légende de THAIPOWERGYM
Lucien Deroy, fondateur de THAIPOWERGYM, a débuté son voyage dans les arts martiaux à l’âge de six ans avec le judo, atteignant la ceinture noire 1ère dan. Sa quête de maîtrise l’a mené à explorer le karaté, le yoseikan budo, et finalement la boxe thaïlandaise, où il a rapidement excellé, devenant champion régional peu après ses débuts. Sa carrière, riche en victoires et en enseignements, l’a établi comme une figure respectée dans le monde des arts martiaux, inspirant des générations de pratiquants à THAIPOWERGYM.
Le CV technique
Ceinture
- Ceinture noire 1ère dan de judo FFJDA en oct. 1983, 17 ans de pratique (manque 30 points pour le 2e Dan).
- Ceinture noire 2ème dan de Yoseikan Budo en 1984 (12 ans de pratique )
- Gants jaunes de savate en 1989. Combattant 2e série.
- Premier Khan de Muaythai FMDA (2003-024) – Pratique depuis 1986.
- Professeur diplômé de yoseikan budo (0583 en 1987)
- Instructeur de lutte contact (formation avec Mr. C. Ribert en octobre 1997).
- Titulaire du brevet national de secourisme en 1985. N. 085974.
- Titulaire du tronc commun d’éducateur sportif 1er degré (diplôme d’état). N. 255.59.86 en nov. 1986.
Professeur diplômé de boxe thaïlandaise et disciplines assimilées
- BMF2-FFSCDA N. 144 en 2008.
- FFBT en mai 1988 par Mr. Roger Paschy.
- FFST N. 88528 en sept. 1995.
- FMDA ( DIF 2000-73) en mai 2001.
- Professeur diplômé de kick Boxing BMF2-FFSCDA N. 142 en 2008.
- Professeur diplômé de K1 rules BMF2-FFSCDA N. 143 en 2008.
- Moniteur ISKA France de kick boxing N.16 en sept.1993 par Mr. Eric Romeas.
- Arbitre FFSCDA de full contact et kick boxing.
- Ancien Responsable de commission de muay boran nord/ pas de calais FMDA 2003/2004
- Ancien responsable de la commission éducative de l’AFMT (2015-2016)
- Arbitre National de Muaythai FBTMTDA en 2008.
- J.A.N.A FMDA Muaythai en 2000.
- Arbitre national de Muaythai CLASSE A FMDA (2001).
- Brevet Juge Arbitre National Muaythai FFSCDA N.67 en 2009.
- Superviseur FFKMDA pour la ligue des Hauts de France de 2017 à sept. 2022 (démission).
- A suivi deux formations de juge/arbitre IFMA en juin et novembre 2017 avec Mr. Eric Ekambi et Amary Ndiaye.
- A suivi un BJAN kick boxing avec Mr. Michel Lombardo, formateur à la FFKMDA en février 2020.
- Membre du Comité Directeur élu de la ligue des Hauts de France FFKMDA depuis mars 2017. Réélu en avril 2021. Démission fin 2022.
- Responsable de la commission Muaythai FFKMDA de mars 2017 à fin 2022 (démission)
- Brevet Juge Arbitre National de kick boxing FFKMDA 74/bjan-KB/2018 en Nov. 2018
- Formation Opérateur Scoring Machine Kickboxing 12 & 13/10/19 à Lestrem.
- BJAR PANCRACE, formation du 01 & 02 février 2020.
- A officié en tant que juge/arbitre muaythai ou Kickboxing dans de nombreuses compétitions régionales ou nationales, sur rings ou tatamis ainsi que dans de nombreux galas privés.
Les principales organisations récentes où j’ai pu officier sont :
- PARTOUCHE Kickboxing tour ( plusieurs éditions comme juge et arbitre) 2017/2018/2019.
- FIGHTING ÉDITION 1 Orchies ( superviseur) novembre 2018.
- GLORY 53 Lille mai 2018 ( juge et superviseur pour la ffkmda)
- ENFUSION Orchies ( juge et arbitre ) Avril 2019
- Arbitre du championnat d’Europe WKN de K1 d’Orchies en avril 2019.
- Gala CHALLENGE 1 du Pasino de st Amand les eaux en octobre 2018 ( Juge et arbitre.)
- FIGHT STADIUM 4 à Tergnier en mars 2019 (superviseur) avec notamment un Tournoi pro des -71 kgs avec entre autres Cedric Manhoef , Arman Ambaryan et Johan Tkac.
- FIGHTING EDITION 2 valenciennes (juge/arbitre). Octobre 2021.
Fondateur et responsable du club THAIPOWERGYM de Houplines depuis 1988.
- A formé deux médaillés IFMA ( Gregory Poupaert , chp du monde par équipe et médaillé de bronze a Bangkok en 2000. Médaillé de bronze aux chpts d Europe à Odessa et Arnaud Da Silva médaillé de bronze en 2001 aux chpts d’Europe ) et plusieurs Champions de France éducatif, régionaux, nationaux et de niveau mondial.
- A eu un champion du monde WMC pro -63,5 kgs en février 2019 a Bangkok avec Mr. Said Aamran.
Palmares sportif
De 1987 à 1997.
- Environ 50 combats ( open tous styles, muaythai, savate, full contact, kick boxing, lutte contact )
- J’ai commencé le ring plutôt tard, à 23 ans, jusqu’à mon dernier combat à 33 ans.
- A pratiqué la Lutte, le Karate Shotokan, la Lutte Contact ( Golden Trophy ), la boxe française, l’haltérophilie, judo, yoseikan budo.
Palmares
- Champion régional 1988 de boxe thaïlandaise (Valenciennes, France)
- Vice champion de Belgique pro 1991 de kick boxing (Mouscron, Belgique)
- Champion d’Europe pro 1991 de kick jutsu (Paris, France)
- Vice champion d’Europe pro 1991 de boxe américaine ISKA (Paris Bercy, France)
- Vice champion d’Europe pro 1992 de boxe thaïlandaise K.I.C.K (Mouscron, Belgique)
- Champion d’Europe pro 1993 de kick boxing ISKA (Hilton Hôtel -Prague, Tchécoslovaquie)
- Vice champion du monde pro 1993 de kick boxing ISKA (Kurokuen Hall- Tokyo, Japon) UWFI Show n. 28
- Deux participations au Golden Trophy ( lutte contact ) pro d’Orléans et Nancy (1996 & 1997)
- Premier combattant Belge pro du Golden Trophy (1996)
- Plusieurs sélections internationales (Belgique, Allemagne, France, Angleterre, etc.)
- Classé dans les 10 premiers en ISKA , WKA ,WPKL et WAKO en kick boxing au début des années 1990…
Principaux Adversaires rencontrés
- FABRICE PAYEN (2x)
- ABEL EL QUANDILI.
- OHÉ MAKOTO.
- KHALED HEBIEB.
- PHILIPPE LALLEMENT.
- YOURI CLITCHEVITCH.
- PUD PAD NITH.
- MURAT COMERT.
- TRACEY TREVOR (2x)
- FAKO CORREA.
- SAID BENSIHMED.
- BEN SLAMA (3x)
- YOURI SAVTCHENKO.
- FLORENT PRIOU (2x)
- FARID LADJOUZI.
- MARCEL DOORMENIK.
La carrière de Lucien par Lucien
Mon parcours débuta par l’apprentissage des arts martiaux. J’ai débuté par le judo à l’age de six ans jusqu’à la ceinture noire 1ère dan. A l’age de 12-13 ans, j’ai débuté parallèlement le karaté, puis dans la foulée le yoseikan budo, qui est un style de karaté moderne, du mma avant l’heure, et ce jusqu’à la ceinture noire 2ème dan. J’ai obtenu aussi mon professorat de yoseikan budo et mon brevet national de secourisme (BNS). Tout cela licencié au budo kwaï d’Armentières.
Fin 1986 j’ai enfin découvert la boxe thaïlandaise et je faisais mon premier combat début 1988. Sans protections. Une saison plus tard j’étais champion régional.
1990 fut l’année de la révélation. Je battais les champions de Belgique de Full contact, de boxe thaï et de kick boxing ainsi que le champion de France de boxe américaine. L’ascension continuait …
J’étais maintenant capable de boxer dans toutes les disciplines de kick boxing : boxe thaï, boxe américaine, kick boxing …
Mais le premier grand test vint en décembre 90 à Bruxelles quand j’effectuais mon premier combat de classe A (niveau international) de kick boxing face à un soviétique issu de la boxe anglaise. Là je réussissais le seul K.O de la soirée et impressionnais beaucoup les promoteurs pour ma première sélection européenne. Les propositions affluaient dont l’une très intéressante : un championnat d’Europe de kick jutsu dans la région parisienne.
Pari réussi. Le titre était donc à prendre et je le pris. Ma progression était constante et mon avenir serein.
Avec ce titre européen les adversaires allaient devenir de plus en plus dangereux. C’était un challenge d’affronter le numéro deux mondial de la boxe française : Philippe Lallement. Le combat fut long et dur (9 rounds de 2 min) mais riche d’enseignements. La prestation fut de qualité et les promoteurs guettaient toujours. Petit à petit je prenais place dans le « gratin » européen du kick boxing, mais les entraînements devenaient de plus en plus difficiles…
Quand mon manager me proposa le combat contre le double champion du monde de kick boxing, je n’en croyais pas mes oreilles. Le risque était énorme, surtout prévenu 24 heures avant la rencontre, mais l’enjeu était de taille. Le résultat fut hélas non favorable mais je pu réaliser alors le travail à effectuer. Je pris conscience de mes moyens, encore petit au niveau mondial.
Il me fallait travailler encore plus et persévérer malgré mon travail a l’usine qui n’arrangeait pas les choses. Mais l’aventure valait la peine de continuer le meilleur était sans doute à venir.
Les magazines spécialisés commençaient à me connaître et à parler de moi, en bien, ce qui était plutôt bon signe et encourageant.
Le public mouscronnois me soutenait et suivait avec intérêt mes rencontres « à la maison » ; ainsi que la presse régionale qui relatait toutes mes rencontres importantes. Une presse favorable, aussi bien dans la région qu’au niveau national. C’est déjà une petite consécration en soi, surtout avec des photos.
Pour preuve une nouvelle fois de l’intérêt des promoteurs et signe d’une valeur certaine, ce championnat d’Europe de full contact version ISKA ; proposé il est vrai, en remplacement d’un combattant forfait . Mais pour affronter un adversaire de la trempe d’Abel Elquandili (plusieurs fois titré au niveau européen et mondial) il fallait un adversaire sérieux et qui devait tenir la route. Même si le combat fut stoppé à la septième reprise le champion ne put abréger les débats que grâce à l’intervention de l’arbitre. Le pari était en quelque sorte gagné : faire bonne impression et se faire connaître encore un peu plus.
Le résultat ne se fit pas attendre puisqu’on me proposait pour février 1992, un huitième de finale de championnat du monde de boxe thaï contre le redoutable Fabrice Payen, champion d’Europe et numéro 5 mondial. Encore un pari énorme mais une étape nécessaire pour s’affirmer comme un des leaders européens du kick boxing. D’ailleurs la presse normande prenait ce combat très au sérieux comme l’intéressé lui-même qui étudia ma façon de combattre comme un vrai professionnel. Payen fut classé n°4 mondial en Thaïlande en 1990, ce qui est exceptionnel pour un occidental, voire unique à l’époque. La partie serait rude. Avec ses plus de 100 combats, Payen était évidemment favori. Prévu en 5 rounds de 3 min, le combat s’arrêta au 4ème round après que mon manager Christian Dheygere jeta l’éponge. Fabrice venait de me toucher d’un terrible coup de genou (sa spécialité) au foie. Plié en deux, le souffle coupé, je n’étais plus en mesure de continuer sans prendre de risque. Il faut dire aussi qu’un combat m’attendait 15 jours plus tard à Mouscron, contre le vice champion de France de boxe thaï. Il faut savoir être sage parfois.
Après le succès convaincant face à Ladjouzi, qui prouva toute la progression effectuée grâce à des adversaires de niveau mondial, il ne me restait plus qu’à affronter un thaïlandais. L’expérience arriva et se concrétisa à Rennes où je fus opposé à PUT PAD NITH, fort de 160 combats. Le combat fut très technique, très serré, et le thaï ne dû sa victoire que grâce à sa grande expérience.
L’entraînement est dur et laborieux. Mais quelle satisfaction de se sentir évoluer. Donner le meilleur de soi-même est certainement nécessaire pour toutes les choses de la vie, mais indispensable en boxe.
Le professeur doit servir de modèle et d’exemple. Le champion ne peut pas décevoir moralement. Il me fallait gagner ce titre de champion d’Europe de boxe thaï en novembre 1992 à Mouscron. Les juges en ont décidé autrement. Quelle déception ! Heureusement le soutien de mes proches et de mes élèves m’a fait revenir sur ma décision de tout plaquer. Je ne pouvais pas aller à l’encontre de ce que je prêchais toujours : ne jamais se décourager.
Diriger un club demande aussi beaucoup de temps. Entre l’entraînement personnel et les leçons à donner il y a aussi ses propres compétitions et celles de ses élèves. Monter une équipe demande donc beaucoup d’efforts, physiques et moraux. Cet esprit d’équipe se retrouve donc aussi dans ce sport bien individuel qu’est la boxe. Esprit d’équipe et mental fort : voilà la recette pour réussir. Il faut être suffisamment fort dans sa tête et savoir entretenir des relations intimes avec son entourage. Tout cela va m’amener à conquérir enfin un titre européen. Ce combat est prévu en ex-Tchécoslovaquie, à Prague, et est annoncé par la presse spécialisée.
Ce titre que je désirais tant, je l’ai enfin. Cette consécration n’est cependant pas finale. Il me reste une étape à franchir, celle du mondial.
Les combats de préparation vont suivre et je dois encore progresser pour réussir.
C’est toujours une histoire de travail. On ne doit sa réussite qu’à ça.
Néanmoins la partie s’annonce encore plus ardue. Il va me falloir affronter de vrais professionnels ; des adversaires qui ont des facilités d’entraînement dans le pire des cas ou qui ne font que ça : boxer. Avec mon travail de magasinier en usine, la partie s’annonce presque perdue d’avance. Il ne faut pas rêver. Si jusqu’ici j’ai su tirer mon épingle du jeu c’est grâce à un mental à toute épreuve ; car quand mon adversaire était « pro », je sentais bien la différence de valeur uniquement due à ce problème de travail, physique qui plus est.
C’est ce que je constatais donc lors de mon voyage au Japon, a Tokyo, pour le titre mondial ISKA de kick boxing. Mon adversaire Ohe Makoto était formaté pour être champion. Professionnel jusqu’au bout des gants. Je m’inclinais par arrêt de l’arbitre a la fin du second round. Sur 12 prévus… Un cross du gauche me cueillait en contre, proprement. Bien sonné je pus néanmoins me remettre debout mais, a 2 secondes de la fin du round l’arbitre m’arrêta…. Dommage.
Déception bien évidemment mais le fossé entre un petit pro et un vrai pro est grand.
Je continuerai à combattre encore quelques années avec de bonnes victoires et des défaites mais surtout avec un passage en MMA, à la française, comme on disait a l’époque, au Golden Trophy. Combat en kimono de MMA avec des règles allégées pour la France.
J’avais fait le tour. J’avais commencé par les arts martiaux et finissais par les arts martiaux. J’effectuerai mon dernier combat de kick boxing par une jolie victoire contre le champion du monde le regretté Fako Corea chez lui, fin 96. Et j’effectuerai mon dernier duel en 1997 en lutte contact au Golden Trophy. Défaite par blessure au second round , arcade ouverte…
Il était temps pour moi de raccrocher et de me consacrer à mon club et mes élèves. Et bien d’autres choses.
La vie continuera avec son lot de joies et de déceptions. La vie est un combat bien plus compliqué que le ring ou finalement tout y est très facile finalement. On est obligé de suivre les règles et le combat ne dure qu’un temps. La vie ne connaît pas de règles…
Merci pour votre attention. Et prenez soin de vous !
OSU👊